Conception : Rebaxan Columni
Accessoires : Bras manipulateur articulés,
Caméra holographiques,
Système audio
Prix : 2 000 crédits
Les droides MSE-6, petits et insignifiants, étaient connus sous le nom de « Droide Souris ».
Développées par la société Chadra-Fan appelée Rebaxan Columni, ces petites unités furent conçues pour servir de petits assistants, efficaces au travail et très économiques à l’achat.
Les ingénieurs de Rebaxan Columni choisirent de s’inspirer de petits rongeurs de leur monde natal pour créer un droide que l’on trouverait mignon. Ce fut une grave erreur : l’apparence du droide rappelait à beaucoup d’espèces la silhouette d’un parasite particulièrement nuisible. Le lancement de la production de milliards d’unité sans étude de marché mit la société Chadra-Fan sur la paille. Il fut certainement le droide qui fut à l’origine du plus grand désastre financier pour son fabricant.
Rebaxan essaya de rattraper l’affaire en proposant les droides souris à prix coûtant à l’Armée Impériale. La Marine qui alors manquait cruellement de droides de maintenance à cause de l’expansion soudaine de la flotte accepta l’offre. Les militaires appréciaient ces droides autant que les civils, ceux-ci étaient à même de s’occuper des tâches élémentaires à bord des vaisseaux de la Marine.
Le MSE-6 était un droide polyvalent aux aptitudes multiples même s’il ne pouvait en faire qu’une seule à la fois. Il était équipé d’un module contenant la matrice d’un circuit du nom de « C-Matrix », matrice qui était programmée pour une seule tâche. Ces matrices étaient faciles à installer et leur programmation pouvait être assurée par d’autres « droides Souris ». Les taches qu’on assignait le plus souvent à ces droides étaient le nettoyage, la communication, la sécurité et les réparations de base.
La coque du droide dissimulait deux bras manipulateurs. L’un des bras servait aux travaux de force et l’autre aux travaux un peu plus délicats. Sa coque pouvait aussi accueillir des messages codés ou des hologrammes dans un compartiment secret. Quand le destinataire recevait le droide, il ne pouvait accéder aux données que s’il entrait un code spécial. Le droide était conçu pour s’autodétruire si un code erroné était entré. Cela conférait aux droides un curieux instinct de survie qui les poussait à faire demi-tour au moindre danger.