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 Info sur l'armée Séparatiste

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starwarsanakin63
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MessageSujet: Info sur l'armée Séparatiste   Info sur l'armée Séparatiste Icon_minitimeMer 27 Avr - 10:34

quelques info sur l'armée séparatiste:

super droides de combat :

Successeur de l'antique droïde de combat de la Fédération du Commerce, le Super droïde de combat est construit par Baktoid Combat Automata. Il est l'aboutissement de la série de droïde de combat relativement rentable que la Fédération du Commerce a mis en chantier afin de satisfaire son besoin de défense. Le Super droïde de combat est beaucoup mieux armé que le droïde de combat standard. Là où il y avait un blaster, on trouve maintenant deux canons blasters inclus dans la main droite du droïde. Cette disposition lui permet de ne pas perdre son arme mais également qu'un adversaire ne puisse pas la lui retirer, comme un Jedi par exemple. Toutefois, ce double blaster peut être remplacé par un autre dispositif utilisant la technologie de blaster reposant sur l'étincelle de plasma.
Le super droïde de combat est revêtu d'une armure bien plus résistante que celle des droïdes de combat, ce qui lui permet de mieux se protéger et de pouvoir endurer des tirs plus puissants et plus soutenus. De plus, cette armure cache l'unité d'alimentation primaire du droïde qui était à la vue de l'ennemi sur la version précédente, ce qui le rendait fragile. Sous cette armure, on trouve plusieurs récepteurs de signal droïde ce qui permet au droïde de ne pas se désactiver si l'un de ceux-ci vient à être endommagé. Malgré cela, le Super droïde de combat dispose d'un degré d'indépendance réduit du fait de ses processeurs beaucoup moins performants.
Le design déshumanisé du droïde a été imaginé par les ingénieurs de Baktoid Combat Automata afin d'intimider ses adversaires. Cet effet ajouté à la finesse des membres de face qui minimise la surface de cible en font un redoutable combattant autant puissant qu'intimidant. Lors d'un combat, le Super droïde de combat peut se mouvoir à une vitesse assez élevée malgré son centre de gravité haut placé. Handicap compensé par des algorithmes de mouvements qui le rendent plus stable. Les jambes du droïde peuvent être démontées afin de les remplacer par des jambes à attraction magnétique pour des planètes composées de nombreux métaux ou de jambes plus lourdes pour compenser la gravitation plus faible de certaines planètes.
Par souci d'économie, le Super droïde de combat est basé sur les composants du droïde de combat standard, mais diffère sur la constitution de son armure, beaucoup plus résistante. Le Super droïde de combat fut mis à disposition de la Fédération du Commerce après la défaite sur Naboo. Ils viennent grossir l'armée de la Confédération des Systèmes Indépendants lorsque la Fédération du Commerce se rallie à elle. Ils seront utilisés de façon militaire pendant la Bataille de Géonosis qui suivra la déclaration d'indépendance des Séparatistes.
Baktoid conçut le porte-super droïde, un module de transport blindé dirigé par un cerveau droïde. Cet engin pouvait déployer une vingtaine de super droïdes de combat dans un lieu donné autour de lui. Ainsi, il était possible de protéger certains lieux-clés avec juste un seul de ces transporteurs. Le cerveau droïde du vaisseau se chargeait de déployer un nouveau super-droïde à chaque fois qu'un était détruit. Le seul moyen que trouva la République pour se débarrasser de ces engins était de les faire sauter avec de puissants explosifs, car leur blindage épais était très résistant.

droides de combats ( simple ) :

Baktoid construisait la plupart des blindés et véhicules à répulseurs des armées de la Fédération du Commerce dont les effectifs étaient le plus souvent constitués de droids de combat Série N produits par la division robotique du groupe, Baktoid Combat Automata.
Lorsque le chancelier Palpatine fit interdire la plupart des droids militaires et paramilitaires, Baktoid transféra la quasi-totalité de ses usines de production hors des frontières républicaines. Ses chaînes de production permirent à la Confédération des Systèmes Indépendants qui affronta la République durant la Guerre des Clones de disposer d'un arsenal conséquent.
Bien que ces droïdes ne soient apparemment plus produits depuis l'avènement de l'Empire Galactique, on en trouve encore quelques bataillons plus ou moins en état sur le marché noir ou au service de gouvernements mineurs et de seigneurs de la guerre minables de la Bordure Extérieure et de l'Espace Sauvage. Qu'il s'agisse de reliquats des guerres cloniques, de bataillons volés à Baktoid ou tout simplement de troupes assemblées sur une chaîne de montage "récupérée", les Série N ont continué pendant un certain temps à représenter un produit intéressant pour les acheteurs aux possibilités financières limitées.
Fondamentalement, le design de ce droïde n'a rien de très extraordinaire et la structure ainsi que les performances du droïde sont plutôt médiocres. Il représente parfaitement la doctrine d'une infanterie obéissante, bon marché et prête à se faire désintégrer par armées entières.
L'atout essentiel de cette série est donc son coût extrêmement compétitif (un facteur qui devait permettre à la Confédération déjà financièrement aisée de prolonger le conflit). La conception du châssis permet de remplacer les pièces facilement ou de les cannibaliser afin de reconstruire des droïdes opérationnels à partir de plusieurs unités trop endommagées. Les fonctions cognitives et les aptitudes martiales des Série N sont plutôt limitées, comme les concepteurs l'avaient souhaité.
Achetés en nombre et équipés d'armes bon marché, les Droïdes de Combat Série N Baktoid sont plus que suffisants pour assurer un certain nombre de tâches mineures mais non négligeables, ce qui permet de libérer des modèles plus performants ou des soldats organiques.
On a ainsi vu ces machines assurer des missions de police, surveiller des camps de prisonniers, procéder à des battues à grande échelle, contrôler les voies d'accès d'une ville ou tout simplement participer à un siège en bonne et due forme ou à une occupation planétaire.
Le modèle standard possède un vocabulateur mais son processeur heuristique peu performant ne lui permet pas de s'adapter facilement à la nouveauté ou aux imprévus.
Pour seulement 200 crédits de plus qu'une unité normale, Baktoid fournissait pour chaque escouade de 10 unités standard un droïde officier quasiment identique mais plus performant : processeur heuristique amélioré et matrice d'aptitudes développée.
Tous les droïdes de ce type étaient équipés d'un comlink militaire interne boosté (500 km de portée) couplé à un système d'asservissement simple mais très ingénieux.
La Fédération du Commerce fit un usage intensif d'armées entièrement composées de Série N dirigés à distance depuis un Central de Contrôle. Plusieurs échecs militaires retentissants démontrèrent amplement qu'un tel système centralisé ne pouvait demeurer efficace que si l'on utilisait effectivement les capacités des droïdes officiers plutôt que de les placer sous la dépendance totale du Central dès qu'une opération de grande envergure était envisagée sous prétexte de mieux coordonner des unités plutôt primaires.
Les experts et les analystes militaires s'entendent généralement sur l'opinion couramment répandue que la Série N déjà dépassée au moment du début des Guerres des Clones continua à être produite en grandes quantités pour gonfler les armées de la Confédération des Systèmes Indépendants afin de lui permettre d'être présente sur un champ de bataille à l'échelle d'une galaxie. A défaut de permettre aux indépendantistes de remporter la victoire, les produits de Baktoid leur ont certainement permis de rendre le conflit plus sanglant et coûteux.
La première utilisation à grande échelle des droïdes de série N se fit sur le champ de bataille de Naboo, où l'absence d'autonomie des machines fit basculer en un instant l'issue du combat, quand le super ordinateur de contrôle fut détruit, réduisant des milliers de droïdes à l'état de tas de ferraille inertes.
Après cette débâcle, Baktoid développa un nouveau modèle, le Super Droïde de Combat, plus résistant, mieux armé et surtout doté d'une certaine autonomie.
Les droïdes de combat étaient déployés sur le terrain à partir de Transports Multi-troupes ou de Porte-droides.

droides commando :

Pendant la Guerre des clones, des droïdes spécialisés furent conçus pour remplir quantité de fonctions particulières. Ainsi, des automates adaptées aux opérations spatiales, notamment, furent créées par la Confédération des systèmes indépendants. De même, pour remplir des missions d’infiltration, c’est-à-dire des expéditions qui requéraient le plus de discrétion possible, quelques cyborgs commandos BX sortirent des chantiers de construction au début du conflit.
Leur apparence était semblable à celle des incontournables B1 : les membres filiformes articulés avaient été conservés, tout comme la forme caractéristique de leur tête. Celle-ci différait néanmoins s’agissant des robots les plus spécialisés : elle ne possédait pas les trois pièces mécaniques qui saillaient vers le bas du crâne des B1 ; elle était plus courte que celle de ces derniers et faisait apparaître deux senseurs lumineux blancs, indispensables pour se repérer dans des environnements nocturnes. Leur intelligence était moins limitée que celle de leurs congénères : ils prenaient de fait plus d’initiatives.
Une autre divergence résidait dans la peinture noire ébène du corps des commandos, parsemée de marques blanches indiquant leurs grades respectifs ; parfaitement adaptée aux missions requérant un minimum de camouflage dans la nuit, ce blindage résistant assurait au droïde un aspect plus élégant que les B1 qui ressemblaient somme toute à de la ferraille bien agencée. Différentes couleurs pouvaient cependant orner leur armures.
Leurs « mains » étaient composées de trois « doigts » épais, et leur armure était capable d’encaisser plusieurs salves de blaster à la suite. Quand ils se déplaçaient, ils émettaient des sons électroniques menaçants. Ils étaient en outre dotés d'un vocabulateur sophistiqué, qui leur permettait de prendre la voix de n'importe quel individu : après l'avoir écouté, les BX enregistraient le son et le reproduisaient à loisir pour duper les ennemis les plus crédules.
Quand ils étaient touchés par le feu ennemi – du moins si le tir n’avait pas été très précis –, les droïdes étaient en mesure de se redresser comme si on les avait seulement poussés. Leurs rivaux pouvaient ainsi aisément se faire tromper en croyant qu’ils avaient réussi à les détruire alors qu’ils les avaient simplement éraflés. Leur point faible restait la tête. Tandis que les automates classiques de la Fédération du commerce se déplaçaient à la manière de machines serviles, les commandos étaient une fois de plus favorisés.
Leurs mouvements étaient en effet bien plus véloces que les droïdes classiques, de sorte qu’ils s’apparentaient presque à des gestes humains. Ainsi, ils pouvaient accomplir des sauts assez prodigieux que la plupart des autres robots n’étaient pas en mesure de réaliser, ce qui leur conféra une place centrale dans l’infanterie de la Confédération dès le début de la Guerre des clones. Ils étaient en plus capables d’esquiver les tirs avec facilité. Bien qu’ils ne fussent pas régulièrement mis à contribution, leurs rares apparitions furent désastreuses pour le camp adverse.
Outre l’arme classique des B1 qui n’était autre que le fusil E-5, les commandos disposaient d’un arsenal plus perfectionné. Une vibrolame se cachait dans un long fourreau situé sur leur dos ; elle était utilisée lorsque les droïdes perdaient leur arme première. Une fois dégainée, cette lame aussi tranchante que lourde endommageait commodément des coques blindées de vaisseau ; leur poids pouvait être un défaut, mais l’agilité des commandos était telle que même les individus les plus fluets rencontraient quelques difficultés à esquiver les coups.
Lors d’attaques à distance, ces automates utilisaient également des détonateurs thermiques, sans parler des petits armes paralysantes ou des cutters à fusion qu’ils sortaient pour se débarrasser d’un ennemi en toute discrétion. La victime était alors électrocutée et hors d’état de réagir pendant de longues heures. Les compétences informatiques des commandos ne furent de même jamais démenties : ils pouvaient bricoler les panneaux de contrôle des portes pour les franchir sans difficultés.
Outre l’arme classique des B1 qui n’était autre que le fusil E-5, les commandos disposaient d’un arsenal plus perfectionné. Une vibrolame se cachait dans un long fourreau situé sur leur dos ; elle était utilisée lorsque les droïdes perdaient leur arme première. Une fois dégainée, cette lame aussi tranchante que lourde endommageait commodément des coques blindées de vaisseau ; leur poids pouvait être un défaut, mais l’agilité des commandos était telle que même les individus les plus fluets rencontraient quelques difficultés à esquiver les coups.
Lors d’attaques à distance, ces automates utilisaient également des détonateurs thermiques, sans parler des petits armes paralysantes ou des cutters à fusion qu’ils sortaient pour se débarrasser d’un ennemi en toute discrétion. La victime était alors électrocutée et hors d’état de réagir pendant de longues heures. Les compétences informatiques des commandos ne furent de même jamais démenties : ils pouvaient bricoler les panneaux de contrôle des portes pour les franchir sans difficultés.
Si les entrées étaient scellées, en revanche, les droïdes avaient recours à un petit engin permettant de les perforer en profondeur. En résumé, ils étaient plus efficaces que les B1 et se montraient particulièrement dangereux lors des expéditions nocturnes qui nécessitaient non seulement un équipement conséquent, mais aussi une agilité remarquable et une capacité à rester discrets. C’est sans doute pour toutes ces raisons que les chantiers de la Confédération créèrent de tels cyborgs.
. Intervention sur la lune de Rishi (↑ Haut de page)
Pendant la Guerre des Clones, quelques-uns furent déployés sur la lune de Rishi quand le Général Grievous apprit qu’une station d’écoute républicaine avait été construite. Elle était vitale pour la Grande armée car elle permettait de tenir au courant les flottes spatiales de l’évolution des troupes ennemies afin de prévenir tout risque d’invasion par exemple.
Dans l’intention d’organiser un assaut sur Kamino et ainsi mettre en péril la production de clones, le chef des armées droïdes prit la décision de prendre le contrôle de la base. Du même coup, la République ne serait pas prévenue du raid de la Confédération des Systèmes Indépendants et ne pourrait pas intervenir. C’est dans cette optique que Grievous lança plusieurs de ses meilleurs commandos sur la lune de Rishi.
Des capsules de débarquement dotées de quatre pinces et d’un habitacle simple transportèrent les robots jusqu’à leur destination. Pour s’assurer que l’ennemi ne viendrait pas contrecarrer leurs plans, les ingénieurs séparatistes firent en sorte que ces vaisseaux fussent capables de se transformer en des sortes de boules de feu lorsqu’ils pénétraient dans l’atmosphère d’une planète : de cette façon, les scanners adverses croyaient repérer de simples météores et ne s’en préoccupaient pas.
C’est précisément ce qui se produisit ce jour-là sur la lune de Rishi. Les engins relâchèrent plusieurs commandos, qui gagnèrent le sol en exécutant des bonds prodigieux. Ils sortirent les uns après les autres des écoutilles aux lumières rouges de leurs capsules pour finalement se réunir. Avançant en groupe de plusieurs individus, les commandos commencèrent par assommer CT 327 chargé de surveiller les airs au moyen d’électrobinoculaires ; puis ils atteignirent la porte de la station d’écoute républicaine.
Au même moment, les jeunes clones, qui se trouvaient à l’intérieur, ne se doutaient pas de ce qui venait de se produire. Ils ne comprirent que trop tard que quelque chose était arrivé à leur confrère ; dès que deux d’entre eux – Droidbait et Nub – se précipitèrent vers la sortie, les droïdes d’élite leur barrèrent la route : ils avaient réussi à outrepasser le dispositif régulant les allées et venues du personnel. Dans le même temps, ils avaient trafiqué les systèmes informatiques permettant aux Républicains d’envoyer des signaux de détresse à leurs alliés.
Des échanges de tirs violents suivirent. Quand le Sergent O’Niner livra lui aussi bataille, les commandos redoublèrent d’efforts pour éliminer leurs opposants. Les fusils E-5 furent d’une redoutable efficacité mais malgré l’averse de décharges, les clones parvinrent à esquiver la plupart d’entre elles en se dissimulant derrière de petites cloisons. Quand les droïdes furent dépassés, ils se mirent eux aussi à couvert pour ressortir quelques secondes plus tard de façon inattendue.
Surpris par cette arrivée soudaine, O’Niner, qui essayait de donner des ordres à ses sujets, fut touché à la jambe par un tir précis d’un commando. Le Sergent s’écroula au sol ; les automates séparatistes s’approchèrent de lui en vitesse, le désarmèrent tout aussi rapidement et, à bout portant, le criblèrent de décharges. Le soldat n’eut aucune chance ; les « bleus » qui étaient encore en vie furent choqués par ce spectacle mais s’enfuirent dans une salle attenante, sans oublier de sceller la porte.
Les commandos ne furent cependant pas bloqués longtemps : ils ouvrirent une brèche à l’aide de leur équipement sophistiqué et arrivèrent dans la pièce où devaient se terrer les clones. Néanmoins, ceux-ci avaient fui en empruntant un conduit de ventilation. Les droïdes ne les avaient pas tués, mais ils avaient pris possession d’une salle de commandement républicaine importante. Ils s’empressèrent de joindre Grievous pour lui faire un rapport.
Mais la tranquillité des commandos fut de courte durée : le Commandant Cody, accompagné par le Capitaine Rex, arrivèrent sur la lune de Rishi pour une inspection de la base. Ils ne se doutaient pas alors que celle-ci avait été attaquée par la Confédération et qu’une mort était à déplorer. Ils voulurent joindre les clones ; le signal sonore alerta l’un des droïdes qui prit une initiative curieuse.
Il enfila un casque de soldat de la Grande Armée, modifia son vocabulateur afin qu’il prît l’intonation des clones et apparut sur l’écran de la navette de Cody, l’Obex, qui approchait de la lune. Le commando déguisé prétendit qu’il rencontrait quelques difficultés techniques et quand le Commandant lui dit qu’il faisait partie de l’équipe chargée de surveiller la base, l’imposteur entreprit de le convaincre de rebrousser chemin : en effet, si d’autres militaires découvraient l’attaque de la station d’écoute, ils pourraient appeler des renforts et la mission des Séparatistes tournerait court.
Toutefois, Rex et son collègue étaient déterminés à visiter cette base. Une fois arrivés sur la plate-forme d’atterrissage, ils furent surpris de ne pas distinguer d’officier pour les recevoir ; ils commencèrent à développer quelques soupçons. Soudain, la porte d’entrée s’ouvrit : un soldat apparut, mais sa démarche était étrange ; ses mouvements étaient mécaniques ; il ne pouvait s’agir que de ce même robot déguisé. Cody ne le remarqua pas d’emblée, mais quand une fusée de détresse fut lancée par les survivants clones en fuite, Rex n’hésita pas à viser la tête de l’ « officier » qui se dressait devant lui pour ensuite déclencher un tir.
Il s’était aperçu que son comportement bizarre cachait quelque chose ; et, en effet, quand il ôta le masque à ce « soldat », il découvrit que c’était un droïde d’un nouveau genre. Soudain, d’autres commandos surgirent de derrière des caisses : ils avaient tendu une embuscade à Cody et à son confrère. Plusieurs décharges furent échangées ; ce fut pour les Républicains l’occasion de constater que ces automates étaient bien plus résistants que les B1 classiques.
Deux d’entre eux lancèrent des détonateurs thermiques non loin de l’Obex pour la détruire : ainsi, les clones n’auraient aucun moyen de repartir. Après l’explosion, les droïdes cherchèrent une trace de leurs ennemis mais ne les trouvèrent pas : ils pensèrent qu’ils avaient été pulvérisés. Ils rentrèrent dans la station mais eurent bien tort d’être aussi sûrs d’eux : Rex et Cody s’étaient en fait pendus, à l’aide d’un câble, sur le rebord de la plate-forme d’atterrissage.
Plus tard, les commandos, retranchés dans la station républicaine, eurent la visite inattendue d’un clone qui se présenta à la porte. Ce dernier se faisait passer pour un droïde en imitant sa démarche caractéristique et en exhibant une tête d’automate récupérée au sol aux yeux du robot-portier TT-8L. Ce stratagème, quoique grossier, fonctionna ; les commandos, crédules, ouvrirent la porte. Ce fut un Rex déchaîné qui les accueillit.
Lui, Cody et les « bleus » se débarrassèrent des trois premiers gardes sans problèmes ; ils se ruèrent ensuite vers la salle de commandement en prenant soin de désintégrer tous les droïdes qui s’interposaient. Les tirs bien placés des clones furent terriblement efficaces, mais dans la manœuvre, Fives fut légèrement blessé. Quand Rex parvint à désarmer un commando, il ne s’attendait pas à ce que celui-ci dégainât sa vibrolame pour tenter par deux fois de la lui planter dans le corps.
Le Capitaine expérimenté esquiva les attaques, se plaça derrière le cyborg et écrasa sa tête contre le sol d’un violent coup du bras. Après quelques salves supplémentaires, tous les commandos finirent par être détruits. Dans la suite du conflit galactique, ils ne furent pas déployés régulièrement par les instances séparatistes, préférant utiliser des B1 ou des véhicules plus lourds même pour des batailles requérant une spécialisation.
Conçus pour faire face à des Jedi, ils devaient constituer une véritable menace pour tous leurs ennemis. Parce qu'ils étaient difficiles à entretenir et très chers, néanmoins, ces tas de ferraille n'avaient pas été produits en nombre. Les B1 restaient en effet les pièces d'infanterie les plus utilisées, car ils étaient bien moins coûteux et restaient redoutés par la plupart des soldats clones.

2. Échec sur Ryloth (↑ Haut de page)
Une escouade de ces droïdes fut utilisée pendant la bataille de Ryloth, et plus précisément dans sa troisième étape, à savoir la libération par la République de la capitale, Lessu. Cet assaut, mené par Mace Windu, fut considérablement facilité par l’aide apporté par Cham Syndulla, un rebelle autochtone, et son armée de Twi’leks, qui, tous, acceptèrent de s’allier avec le Jedi pour chasser l’envahisseur séparatiste de leur territoire. Le centre de commandement de la Confédération fut bientôt assiégé.
En utilisant un pont en plasma, Mace et ses camarades pénétrèrent dans la forteresse ; pendant que le Jedi tenterait de capturer l’Émir Wat Tambor, ses clones, dont Razor et Stak, détruiraient les droïdes rassemblés dans la salle de contrôle. Après l’avoir atteinte, et alors qu’ils commençaient de mitrailler les automates, ils furent surpris par l’escouade de commandos qui arriva par les turbo-élévateurs. L’un d’entre eux souleva son confrère B1 et le lança sur une recrue républicaine, qui chuta aussitôt ; puis, dans un geste gracieux, il se précipita sur un autre soldats
Dans les airs, il lui asséna quelques coups de poing ; et, dès que le clone fut suffisamment étourdi, il le jeta violemment au sol avec une vélocité comparable à celle d’un Jedi ordinaire. Le clone, Stak, n’était cependant pas inconscient ; il saisit une arme au sol sans que le commando pût l’en empêcher ; avec elle, il tira sur le dos mécanique d’un autre droïde BX en train d’affronter l’autre soldat républicain, Razor, si bien que celui-ci n’eut plus qu’à pousser son ennemi désintégré pour s’en défaire.
Stak, toujours au sol, voulut ensuite viser le robot commando qui restait. Toutefois, ce dernier, singulièrement agressif, d’un geste de la « main », propulsa le blaster à quelques mètres, de sorte que les tirs ne le touchèrent pas. Il écrasa, de son « pied », la poitrine du clone, puis lui ôta son casque brutalement. Alors qu’il s’apprêtait à le tuer, Razor, libre, frappa l’automate imprudent d’un puissant coup de poing. Les forces droïdes, plus tard, furent totalement chassées de Ryloth ; et, Républicains et Twi’leks réunis, une fête célébra la libération de la planète.
3. Au service de Cad Bane (↑ Haut de page)
Deux droïdes commandos participèrent, sur Coruscant, à un assaut téméraire entrepris par un redoutable chasseur de primes, Cad Bane. Celui-ci communiqua avec des criminels, qui lui confièrent une mission : libérer Ziro le Hutt, emprisonné après que la République eut découvert sa collaboration avec l’ennemi pour duper Jabba. Bane réunit alors quelques-uns des malfrats les plus dangereux de l’univers ; et deux BX furent notamment recrutés.
Ces automates avaient pour l’occasion était couverts d’une armure aux teintes inédites. Ainsi, diverses marques d’un bleu clair étaient visibles sur leur crâne mécanique et tout le reste de leur « corps », ce qui les différenciait des commandos servant la Confédération. En outre, une sorte d’insigne rouge, et un cercle peint dans cette même couleur, ornaient leur « poitrine ». Dès qu’ils furent arrivés sur la planète-capitale, ces droïdes, avec les autres, malandrins montèrent à bord d’un airspeeder et volèrent jusqu’à l’aile est des bâtiments du Sénat.

Alors qu’ils étaient sur le point d’arriver, Bane ordonna à ses subordonnés de se préparer. Le véhicule atterrit sur une plate-forme située devant l’édifice sénatorial. Une alerte résonna, car il était interdit de pénétrer dans cette zone sans autorisation expresse. Aussi des gardes apparurent pour mettre les malfrats en état d’arrestation, sans savoir à qui ils avaient affaire. Cad descendit seul de son petit appareil pour leur faire face.
Bane, calmement, et bien que cerné par les Républicains, les invita à le laisser passer, car il devait parler aux Sénateurs. Les forces de sécurité n’en avaient que faire ; elles prièrent le Duro de se mettre à genoux. Mais le garde n’eut pas le temps de s’approcher de lui : un laser lointain, tiré depuis un balcon par Aurra Sing, atteignit la sentinelle et la tua. Près d’eux, une escarmouche a éclaté : d’autres sentinelles du Sénat avaient été alertées, et elles essayèrent de lutter contre Alam et les droïdes commandos.
Très vite, néanmoins, les Républicains furent tuées ; malgré leur volonté de protéger les lieux, ils furent obligés de ployer face à un ennemi étonnamment bien organisé. Les BX, toujours aussi agiles, se débarrassèrent facilement des gardes sénatoriaux. Bientôt, ceux-ci furent tous assassinés. C’est alors que Bane exigea de ses droïdes commandos qu’ils revêtissent les uniformes des gardes au sol pour mettre la plate-forme d’atterrissage en sécurité quand il aurait accompli sa mission.
Mais avant, le gantelet de communication d’une sentinelle sénatoriale morte sonna : c’était un Républicain qui voulait savoir ce qui s’était passé à l’extérieur. L’un des robots BX, doté d’un vocabulateur sophistiqué, changea de voix et prit celle du capitaine des gardes, de sorte qu’il put rassurer l’ennemi en lui disant que les intrus avaient été maîtrisés. L’équipe de chasseurs de primes se rassembla ensuite. Cad rappela aux BX, qui avaient entre-temps revêtu l’armure bleue des gardes du Sénat, qu’ils devaient abattre les éventuels intrus de façon que la voie fût libre pour lui et ses collègues.
Finalement, après une prise d’otages réussie, Bane, Sing et les autres sortirent de l’édifice : ils avaient négocié et obtenu la libération de Ziro le Hutt. Néanmoins, ils furent encerclés par des soldats clones qui les attendaient sur la plate-forme d’atterrissage, et qui avaient sans doute détruit les robots commandos. Heureusement pour les malfrats, Cad avait tout prévu : un dispositif mortel menaçait, dans le bâtiment, les Sénateurs innocents ; si les Républicains tentaient de l’arrêter, il lui suffirait d’enclencher l’explosion. Ainsi, les chasseurs de primes, comme les BX à bord d'un airspeeder, purent quitter Coruscant avec Ziro…

droides de combat baron :

Les droïdes de combats Baron de type E4 ont été fabriqués par Baktoid Combat Automata, comme de nombreux droïdes de combat de l'époque. Leur étrange forme squelettique éveillait la peur chez leurs ennemis. Cette allure impressionnante fut d'ailleurs reprise dans le concept du B1, ou du célèbre droïde de combat B2, plus communément appelé par ses nombreux ennemis "super droïde de combat" et qui combattit sur presque tous les fronts durant la Guerre de Clones. On peut donc considérer les E4 comme les prototype du B2.
Les droïdes Baron E4 étaient mieux armés et plus résistants que les droïdes de combat standards utilisés dans la galaxie à cette époque. En effet, avec son armure composée d'un revêtement en arcetron, métal résistant aux tirs laser, ainsi que son lance-missile au poignet ( concept repris encore une fois dans le B2 … ) et son double canon laser très puissant, le E4 était en mesure d'assurer parfaitement sa fonction de garde du corps. De plus, ses deux photorécepteurs lui permettaient de voir et d'enregistrer tout comportement suspect. Il pouvait alors allumer son spot, aveuglant son ennemi, puis l'exterminer sans difficulté…
Lorsqu'ils furent introduits sur le marché, les Barons E4 eurent rapidement un grand succès en tant que gardes du corps ou pour la protection de biens. Ils furent même les plus vendus de leur catégorie. Il furent commandés par la cupide Fédération du Commerce, qui en débarqua un grand nombre durant l'invasion de Naboo en -32 avant la bataille de Yavin. Mais Nute Gunray en utilisa aussi pour tenter de tuer Shu Maï et ainsi se débarrasser de la Guilde du Commerce, un puissant rival sur le marché à cette époque. Il échoua cependant.
Pour en revenir à l'utilisation du E4 sur Naboo, il fut débarqué en grand nombre dans Theed et dans les marais environnants, tuant les résistants. Obi-Wan Kenobi et son maître Qui-Gon Jinn en rencontrèrent un grand nombre dans le vaisseau de contrôle en orbite autour de Naboo, puis sur la planète. Mais lorsque le vaisseau amiral fut détruit par les N-1 de la résistance Naboo, les droïdes de combat tombèrent tous au sol, sauf les Barons E4, n'ayant pas besoin d'ordinateur de contrôle. Les E4 n'étaient cependant pas assez nombreux, ils tombèrent tous sous les sabres d'Obi-Wan Kenobi et de Qui-Gon Jinn, les résistants naboo faisant le reste.

ultra droides de combat :

Lorsque la Guerre des Clones fit rage, la République comme la Confédération des Systèmes Indépendants s’affrontaient physiquement sur de nombreux mondes mais aussi par l’intermédiaire d’une certaine course à l’armement. Chaque camp essayait de perfectionner ses armes et équipements en vue de prendre le dessus sur l’autre. C’est ainsi que la CSI mit au point de nombreuses évolutions de ses droïdes de combat terrestres et aériens.
La première réelle évolution du droïde de combat B1 fut le Super droïde de combat B2. Plus costaud et plus dangereux, mais aussi plus lent, le B2 était un droïde qui posait un vrai problème aux clones de la Grande Armée, contrairement aux B1 qui étaient facilement vaincus. Mais ce n’était pas suffisant. A la demande de Wat Tambor, Baktoid Combat Automata développa alors une version améliorée du B2, l’Ultra droïde de combat B3 sur Foundry, un monde-usine du Techno-Syndicat. Le prototype original était connu sous le nom d’Avatar-7 et fut personnellement approuvé par le Général Grievous lui-même.
En apparence, ce droïde était très proche du modèle B2. Cependant il était deux fois plus grand (4 mètres) et possédait un arsenal impressionnant qui n’avait rien à envier au combo blaster-roquette du B2. Ainsi, le B3 possédait sur son bras droit un lance-flamme et sur son bras gauche un canon à plasma. Au niveau du ventre, il possédait deux petits bras rétractables équipés chacun d’un canon blaster. Et enfin, il possédait sur son épaule gauche un lance-missile capable de faire feu des missiles téléguidés à la précision ahurissante.
En plus de cet arsenal destructeur destiné à affronter tous types d’ennemis, le B3 possédait un blindage encore plus résistant, et surtout il était équipé d’un projecteur de densité expérimental. Cet engin fonctionnait comme un rayon tracteur, à l’inverse qu’il était utilisé pour multiplier temporairement par 20 le poids du B3. Ainsi, il lui était très difficile de tomber et de s’écraser sur les autres troupes (d’autant plus qu’en cas de chute, il lui aurait été presque impossible de se relever).
Les Jedi Mace Windu et Saesee Tiin eurent à faire avec un B3 lors de la Bataille d’Itkotch, 5 mois après celle de Géonosis. Alors que les deux Jedi s’amusaient à propulser les droïdes ennemis les uns sur les autres grâce à la Force, le B3 leur donna du mal. Saesee fut incapable de le soulever par la Force et ses armements empêchaient les Jedi de le détruire de manière conventionnelle. Mace Windu tenta alors de saboter ses points faibles un par un, en commençant par ses capteurs optiques et ses articulations, tandis que Saesee Tinn se servit de la Force pour retourner les missiles du droïde contre lui, le faisant exploser. Ce combat qui ne fut pas facile illustre bien la puissance du B3, capable de tenir tête à des Jedi plus longtemps que les autres droïdes.
Mais malgré sa puissance le B3 fut peu utilisé. Il était en effet vraiment très cher à produire et sa relative lenteur l’empêchait d’être déployé autant qu’un B2. C’est pour cela que les quelques unités B3 qui virent le jour furent essentiellement assignées à des tâches de protection des officiers sur le champ de bataille. Les B3 en activité étaient toutefois imparfaits et posaient des problèmes de maintenance. Ainsi le modèle mit du temps à évoluer et lorsque la fin de la Guerre arriva, il n’était toujours pas au point.
Après la Guerre, l’Empire récupéra la plupart des B3 et les plaça dans son centre d’entraînement sur Carida.


droides légionnaire :


Au cours de la Guerre des Clones, un clone « déviant » que les Kaminoans n’avaient pas pu reconditionner nommé Spar (et élevé en tant qu’Alpha-02) refonda les Protecteurs Mandaloriens qui se battirent du côté de la Confédération des Systèmes Indépendants. Néanmoins, il comprit que le talent au combat de ses hommes ne faisait pas tout et qu’ils avaient besoin d’un plus grand nombre de soldats, aussi il rompit avec l’ancienne habitude mandalorienne de se méfier de l’usage des droïdes. Pour la première fois de leur histoire, ils employèrent donc une armée artificielle qui alla au front devant les guerriers « organiques ».
Spar eut l’idée de créer de véritables machines à tuer en additionnant le concept du droïde de protocole sans peur C3-PX rencontré par Fenn Shysa au principe des Géants Mandallians qui avaient joués un rôle prépondérant au cours des nombreuses batailles des Nouvelles Guerres Sith. Il utilisa alors les immenses fonderies des Séparatistes, celles de Baktoid Combat Automata plus précisément, pour concevoir les droïdes de combat Légionnaire (Battle Legionnaire Droid en VO).
Ces machines à tuer furent spécialement équipées pour remplir le rôle qui avait été attribué aux Géants Mandallians des millénaires plus tôt : leurs carapaces métalliques, semblables à celles des célèbres 3-PO de Cybot Galactica, furent tout d’abord peintes aux couleurs vertes des Protecteurs Mandaloriens puis ils reçurent les meilleurs composants pour une force et une autonomie maximale. Forts de leurs gyros d’équilibre de niveau militaire et de leurs articulations spécialement calibrée, ils pouvaient ainsi porter plus d’une tonne et courir à une vitesse supérieure à une trentaine de kilomètres par heure sur plus d’une journée sans qu’il soit nécessaire de recharger leurs batteries.
Ces équipements, aussi efficaces fussent-ils, ne suffisaient pas pour autant à leur permettre de vaincre sur le champ de bataille et ils reçurent chacun un Brietto AAP-II également appelé « Boîte-Blaster » qui fut intégré à leur thorax. En outre, ils pouvaient bénéficier au front d’appui solide de la part des énormes plates-formes de combat mandaloriennes, dirigées par des unités de droïdes Légionnaires spécialisés. Ces engins de mort surarmés, qui étaient des droïdes utilisés quelques deux milles ans auparavant au cours des Nouvelles Guerres Sith, intégrèrent l’impressionnant arsenal des Légionnaires et firent vraisemblablement des ravages quand ils furent déployés.
Avec tous ces atouts, le millier d’unités sorties des usines de Baktoid participa tardivement à la Guerre et furent rapidement envoyés au cœur des pires combat où ils constituaient généralement les premières forces d’assaut terrestres. Sur le champ de bataille, leur rôle était de percer les défenses de la République pour permettre aux troupes des Protecteurs d’exploiter ces trouées et par conséquent de prendre l’avantage.
Leurs rangs s’éclaircirent au cours des campagnes de Spar, en particulier lors des attaques sur Kamino et Nouvelle Bornalex, mais leur histoire s’acheva sur Norval II pour la quasi-totalité d’entre eux. Le clone reçut l’ordre de Dark Sidious de capturer la Sénatrice Padmé Amidala de passage sur la planète et il obéit pour se retrouver au beau milieu d’un piège tendu par la République. Dans l’embuscade, il n’y eut pratiquement aucun droïde Légionnaire survivant et ils disparurent de la circulation, tout comme les Protecteurs Mandaloriens qui subirent un sort similaire avec seulement trois combattants qui survécurent à la Guerre des Clones sur plus de deux cents soldats.
Toutefois, ces fameux droïdes n’avaient pas finis de faire parler d’eux et l’une de ces unités miteuse mais en état de marche aboutit entre les mains de Boba Fett qui la garda pour une raison connue de lui seul, par affinité avec ce tueur mécanique ou à cause du lien qui les unissait tous deux aux Mandaloriens. Il fit de lui son assistant pendant les premiers temps de l’Empire, jusqu’au jour où BL-17 rencontra deux droïdes nommés R2-D2 et C3-PO sur Boonta, rencontre au cours de laquelle il perdit la « vie ». Après cela, on n’entendit plus jamais parler de la série BL de Baktoid.

droides commandant :


Sous l'Ancienne République, la Fédération du Commerce se dota d'un grand nombre de droïdes pour sa protection, en particulier celle de ses capitaux, et ce dans un souci d'obéissance absolue et d'économies d'échelles. Suite à la taxation des voies marchandes, la Fédération put créer légalement des contingents entiers de machines de guerre, et s'équipa en conséquence d'officiers droïdes, indispensables pour diriger ses soldats avec plus d'autonomie. Le nouveau modèle avait d'ailleurs fait ses sombres preuves durant le Sommet d'Eriadu, quelques temps plus tôt.
OOM-9 était un commandant droïde appartenant à la nouvelle armée de la Fédération, conçu spécialement pour contrôler toute une armée et non plus un unique bataillon. Comme bon nombre de ses semblables sortis des usines d'assemblage Baktoïd, il était pratiquement semblable aux autres droïdes de combat : sa taille ne dépassait pas 1,91 mètre, et sa silhouette restait extrêmement fine, presque fragile selon les critères galactiques de construction de droïdes. Même s'il arborait fièrement les galons jaunes d'officier sur son châssis de métal, OOM-9 était bien plus que de la simple chair à canon mécanique standardisée. Sa mémoire contenait effectivement plusieurs programmes supplémentaires concernant la stratégie, les tactiques de bataille et les relations entre espèces. De plus, sa personnalité et son indépendance, bien que limitées, étaient apparemment plus développées que chez les autres officiers droïdes. Seules caractéristiques qui le distinguaient d'ailleurs des autres unités affectées au commandement. Bien qu'il disposait d'un blaster E-5, OOM-9 était aussi pourvu de macrobinoculaires pour le repérage et sa place était souvent à l'arrière de l'infanterie dans un CAB de la Fédération, signes frappant d'un rôle de général plutôt que de simple commandant.
Nommé commandant des forces de la Fédération lors du blocus de Naboo, OOM-9 avait pour première tâche de superviser le débarquement des troupes dans les forêts de Naboo, et plus globalement l'invasion de la planète. Chose facilitée par le peu de résistance de la part du gouvernement local et de la population. Le vice-roi Gunray lui ordonna également de retrouver les consulaires Jedi en fuite, mais il ne parvint jamais à les pister et encore moins à les capturer. De toute manière, il était plus préoccupé par l'invasion, comme en témoigne son entrée victorieuse dans la capitale Theed, et la soumission rapide des habitants organisée par ses troupes. Sans compter qu'il captura personnellement la reine Amidala et ses administrateurs, au grand plaisir de la Fédération du Commerce. Affecté à la protection du palais royal de Theed, puisque utilisé comme citadelle temporaire par les Neimoidiens, OOM-9 fut envoyé par la suite à la rencontre de la grande armée gungan, rassemblée dans les vastes plaines verdoyantes à plusieurs kilomètres de la capitale.
La presque totalité des droïdes étant maintenue sous ses ordres, il débuta la bataille par un feu nourrit de la part de ses tanks. S'apercevant que les boucliers énergétiques gungans stoppaient facilement les tirs, il arrêta le pilonnage après quelques minutes, attendant que les fantassins soient déployés pour l'attaque. Une fois les générateurs de boucliers détruits, OOM-9 ordonna à ses CAB de charger, tandis que les TMT restaient en arrière. Il aurait pu facilement acquérir la victoire, mais l'explosion du vaisseau de contrôle droïde en orbite de Naboo mit fin au signal de contrôle, et désactiva l'ensemble des droïdes. Les guerriers mécaniques fédérés étant à l'époque sous la dépendance d'un ordinateur central lors d'opérations de grande envergure, cela constituait une faille importante et les capacités des officiers restaient alors en grande partie inexploités. On ne sait pas exactement si OOM-9 fut détruit lors de ce combat, ni s'il fut confisqué par les autorités de la République après la bataille ou réutilisé plus tard, mais il resta fidèle à son poste jusqu'au bout. Même si Gunray et ses acolytes avaient subi un revers important, l'efficacité d'OOM-9 était largement prouvée. Ce qui explique pourquoi il donna naissance à la série de droïdes OOM-9, officiers mécaniques ultra-perfectionnées qui lui succédèrent aux côtés de la Confédération des Systèmes Indépendants durant la Guerre des Clones. Malgré tout, les barons marchands préférèrent généralement attribuer la direction de leurs armées à des êtres organiques plutôt que de faire totalement confiance à des machines.


droides de combat spatial :


Les droïdes de combat spatiaux, ou « droïde-fusée » étaient identiques aux B1, à ceci près qu’ils étaient, comme leur nom l’indique, adaptés aux expéditions dans l’espace. Évidemment construits par la Fédération du Commerce, ils disposaient de leur équipement habituel, à savoir le fusil blaster E-5, mais avaient été dotés de surcroît d’un jetpack. Celui-ci leur permettait de flotter à leur aise parmi les étoiles et d’atteindre leurs cibles.
Outre ce propulseur, leur « tête » était agrémentée d’un projecteur qui assurait un faisceau éclairant indispensable pour opérer dans le vide spatial. Par ailleurs, leurs « bras » comportaient un dispositif spécialement conçu pour forer des trous dans des coques de vaisseaux. Et, en effet, la mission principale de ses automates consistait à traquer les survivants des explosions et des batailles et de les éliminer afin de ne laisser aucun témoin.
En général, ils étaient déployés lorsque l’ennemi avait eu la chance de s’enfuir dans une capsule de sauvetage. Les droïdes étaient alors envoyés dans l’espace pour trouver ces appareils. Ils montaient à bord d’un chasseur de capsule – engin dont la fonction unique était de saisir des transports à l’aide d’énormes pinces –, se rendaient sur les lieux de la lutte et essayaient de trouver, parmi les épaves, les rescapés.
Pendant que l’un des cyborgs pilotait la machine, les autres gagnaient le vide spatial et flottaient à l’aide de leurs propulseurs jusqu’à leur cible. Ce genre de missions fut utile pendant la Guerre des Clones, lorsqu’il était indispensable, pour la Confédération des Systèmes Indépendants, de tuer tous leurs ennemis après un combat spatial intense.
Après la bataille d’Abregado, il fallait que tous les survivants fussent traqués car ils ne devaient pas divulguer aux instances républicaines la nature du super canon ionique installé sur le Malevolence et ayant déjà fait des ravages contre les troupes du gouvernement galactique.
Grievous utilisa l’arme contre la flottille de Plo Koon et détruisit tous ses destroyers stellaires après avoir neutralisé leurs boucliers. Le Comte Dooku ne tolérant aucun témoin, il ordonna qu’on envoyât les chasseurs de capsules sur-le-champ.
Des droïdes de combat spatiaux furent chargés de détruire toute forme de vie parmi les débris. Une fois que le pilote cybernétique avait attrapé, à l’aide des pinces du transport, une capsule, les automates étaient relâchés ; ils foraient alors un trou dans la coque pour vider ses occupants et les laisser trépasser. S’ils étaient récalcitrants, ils utilisaient leurs fusils pour s’en débarrasser et ainsi s’assurer de leur mort.
Koon, qui avait emprunté un engin avec les clones Sinker, Boost et Wolffe, était condamné à finir ses jours dans l’espace si personne ne venait les secourir. Quand les communications furent rétablies, ils reçurent un signal d’alliés qui se trouvaient également dans une capsule – immatriculée 1977 – et qui étaient attaqués par des droïdes spatiaux.

En jetant un œil à travers la vitre de leur appareil, Plo et les autres observèrent avec effroi la mise à mort de leurs compagnons, jetés dans le vide glacial. Bientôt, les B1 modifiés aperçurent le véhicule dans lequel se trouvaient le Jedi et ses hommes. Le chasseur de capsules s’approcha, saisit sa cible et les automates se lancèrent à l’assaut de l’ennemi. Mais Koon était bien décidé à survivre : étant un Kel Dor, il pouvait survivre plus longtemps dans l’espace.
Par conséquent, il sortit du petit vaisseau, accompagné de Sinker et Boost qui avaient enfilé leurs casques. Les droïdes spatiaux levèrent la tête et, avec surprise, découvrirent le Jedi sur la coque de la capsule. Ils commencèrent à le cribler de décharges, mais tous les tirs furent parés avec facilité. Certains cyborgs furent désintégrés dans la manœuvre ; les autres resserrèrent l’étreinte du chasseur de la Confédération pour ouvrir des brèches dans l’habitacle du pod. Le temps était compté ; Plo décida alors de prendre les choses en main. Il utilisa la Force pour projeter Sinker à la portée des droïdes.
Ainsi, il put les éliminer les uns après les autres à son aise. Par la suite, le Kel Dor trancha grâce à son sabre laser les pinces du vaisseau séparatiste. Tous les droïdes de combat spatiaux qui n’avaient pas été désintégrés au préalable furent réduits en poussière lors de l’explosion qui s’ensuivit. Peu après, Plo et ses clones furent secourus par Anakin Skywalker et Ahsoka

super droides fusée :


Le super droïde de combat fusée était un B2 ordinaire, à ceci près qu’il avait été conçu pour voler. Pour cela, il avait été doté, outre ses armes premières, comme le canon blaster intégré à son poignet, d’un propulseur dorsal puissant situé derrière sa tête mécanique. Il pouvait alors atteindre des vitesses impressionnantes et se diriger dans les airs commodément. Sa coque avait en outre était peinte d’un bleu clair sur sa poitrine – deux diagonales –, sur ses « jambes » et ses « bras » ; ces marques permettaient de le reconnaître.
Cette gamme d’automates, construite par la firme Baktoid Combat Automata, correspondait à une nécessité de guerre. En effet, lorsque la crise séparatiste éclata, et que la bataille de Géonosis obligea les belligérants à combattre pour libérer, chacun à sa façon, la galaxie, la Confédération somma ses ingénieurs de créer des robots adaptés à diverses situations susceptibles de leur donner un avantage. C’est ainsi que des droïdes commandos étaient les versions améliorées des simples B1, capables d’intervenir dans les missions d’infiltration.
De même, le cyborg-fusée avait spécialement été conçu pour chasser les survivants républicains après des batailles spatiales. Le super droïde fusée était en fait son équivalent B2 ; mais il pouvait aussi évoquer le droïde jump, à même de tuer ses ennemis dans l’atmosphère et qui mit en danger, notamment, le Jedi Treetower. Ces automates ne furent guère utilisés, parce qu’ils étaient très chers et parce que les chasseurs vautours pouvaient facilement être lancés à l'assaut à leur place.
Quoi qu’il en soit, des super droïdes fusées furent déployés au début de la Guerre des clones. Ordinairement, des frégates de classe Munificent les libéraient en nombre afin qu’ils assaillissent les vaisseaux ennemis. Ils envahissaient alors la coque des destroyers ou des canonnières et semaient le chaos, soit en ouvrant les cockpits et en tuant les pilotes, soit en entrant à l’intérieur des croiseurs et en assassinant tous ceux qui s’y trouvaient. Ils étaient efficaces lorsqu’ils participaient à des batailles dans l’atmosphère.
C’est précisément ce qui arriva pendant la bataille de Quell, qui mit surtout en scène le Général Aayla Secura et le Commandant Bly. Bientôt, au-dessus de la planète, les Républicains furent submergés par les nombreuses frégates séparatistes. La Jedi demanda à Anakin Skywalker, qui n’était pas loin, de venir lui porter secours. Mais avant, à bord d’un vaisseau, un droïde tactique de la Confédération voulut mettre un terme à la lutte et achever ses opposants.
Pour cela, des super droïdes fusées furent déployés. Les sas des frégates s’ouvrirent, et les imposants automates, à la manière de parachutistes, se jetèrent dans le vide. À l’aide de leurs propulseurs dorsaux, ils firent en sorte d’atterrir sur la coque des destroyers de classe Venator, chancelants et embrasés. Dans la manœuvre, certains se firent détruire, car les canons séparatistes ne cessaient de tirer. Toutefois, les robots envahirent les croiseurs et passèrent notamment par une brèche ouverte dans celui que menait Aayla Secura. Constatant cet assaut inattendu, celle-ci demanda à Bly d’essayer de se débarrasser de ses ennemis mécaniques qui avaient pénétré dans son vaisseau.
Quand les canonnières d’Ahsoka Tano et d’Anakin Skywalker apparurent pour aider leur confrère Jedi, ils furent aussi attaqués par les super droïdes fusées. Les pilotes clones, en les apercevant, paniquèrent, mais lancèrent leurs missiles et utilisèrent les canons de leurs appareils ; plusieurs automates séparatistes furent détruits en vol. Cependant, ceux qui parvinrent à éviter les décharges se précipitèrent sur les canonnières pour détruire les cockpits pourtant résistants. L’un d’entre eux monta sur la coque d’une TIO/BA et, grâce à ses puissants bras mécaniques, ouvrit la cabine de la recrue républicaine.
Le pilote, désormais à l’air libre, était prêt à se faire tuer, puisque le B2 modifié l’assaillit avec son canon blaster. Néanmoins, le clone réussit à éviter les tirs et, grâce au Capitaine Rex, à rejoindre l’intérieur de la canonnière. Celle-ci finit par s’écraser, mais ses occupants gagnèrent le destroyer de Secura. De son côté, Anakin avait sauté dans le vide, s’était allongé sur le dos mécanique d’un super droïde fusée et l’avait utilisé comme un moyen de transport rapide pour atteindre le croiseur enflammé de sa consœur Jedi. Ainsi, les Républicains détruisirent les envahisseurs qui avaient abordé le Venator.
Les Jedi, évidemment, n’eurent aucun mal à faire tournoyer leurs lames pour démembrer les super droïdes fusées, et ce avec une agilité déconcertante. Toutefois, les automates étaient trop nombreux ; ils durent bientôt très vite en retraite. Le robot tactique séparatiste voulut que ses laquais démolissent le destroyer, même si des B2 modifiés et autres B1 s’y trouvaient encore. Le Venator explosa, emportant tous les cyborgs, mais blessant aussi Anakin Skywalker. Les Républicains quittèrent leur croiseur embrasé au dernier moment et, par la suite, s’écrasèrent sur Maridun. Dans la suite du conflit, les super droïdes munis de propulseurs ne réapparurent pas souvent

droides pompier :

Des gammes de droïdes variées furent développées par la Confédération des systèmes indépendants pendant la Guerre des clones. En effet, il fallait pouvoir réagir face à tous les types de situations. C’est ainsi que, parallèlement à l’élément d’infanterie essentiel qu’était le robot de combat B1, des modèles furent conçus à partir d’eux ; certains étaient adaptés aux opérations spatiales, tandis que d’autres, plus sophistiqués, étaient déployés lors des missions d’infiltration.
De même, des droïdes-pompiers furent construits sur le schéma initial du B1. Rien ne différait d’avec eux – ils avaient cette même structure filiforme et la même apparence – à ceci près que leur blindage était couvert d’une peinture noire portant plusieurs marques les distinguant de leurs congénères mécaniques. Ainsi, sur leur « front », une tache rouge était apparente et, plus bas, au milieu de leur « torse », sur les « bras », l'équipement dorsal imposant et les « jambes », des bandes jaunes étaient visibles. Ils étaient en outre plus agiles, ce qui était indispensable pour se servir des lances.
Si ces cyborgs furent assez peu utilisés durant le conflit, les Séparatistes les employaient parfois dans leurs vaisseaux spatiaux pour lutter contre les flammes qui pouvaient naître après des détonations ou quelconque dysfonctionnement grave. Sortant de nulle part avec leur démarche saccadée, les pompiers se précipitaient aussitôt sur une lance à incendie, ordinairement placée sur des poteaux prévus à cet effet. Ensuite, ils se chargeaient de maîtriser le feu avec l’eau qui jaillissait et, par suite, l’éteindre.
La plupart des frégates de classe Munificent devaient abriter de tels droïdes, tout comme le Malevolence qui en accueillait plusieurs. Après la bataille de la nébuleuse de Kaliida, l’appareil séparatiste fut attaqué par plusieurs destroyers Venator et finit par tomber en ruines. Heureusement, le Général Grievous reçut la visite de Padmé Amidala à l’origine en mission diplomatique.
Le yacht spatial de la jeune femme fut bientôt forcé de se poser dans un hangar du Malevolence car aspiré par des rayons tracteurs. Avec son fidèle C-3PO, elle provoqua la surchauffe de son transport afin de tromper Grievous en approche. Alors que celui-ci venait d’entrer à bord pour prendre la Sénatrice en otage, il fut pris dans l’explosion causée par Padmé.
Les flammes furent maîtrisées par des droïdes-pompiers qui apparurent sur-le-champ. Tandis que les poteaux distribuant les lances à incendie surgissaient du sol de la baie, les automates en saisirent plusieurs et se précipitèrent vers le transport en cendres. L’un d’entre eux, maladroit qu’il était, ne tira pas suffisamment sur le tuyau pour pouvoir s'avancer vers l’épave ; il trébucha en arrière. Un autre, tout aussi stupide, fut projeté dans les airs du fait de la puissance du jet d’eau qui gicla.
D’autres droïdes, plus habiles, atteignirent sans mal la carcasse en feu et tendirent la lance vers elle. Toutefois, il en fallait plus pour vaincre le seigneur de guerre ; Grievous n’avait pas été blessé par la détonation et surgit du yacht détérioré tout aussi frais. Furieux, il ordonna à ses laquais de donner l’alerte maximale. Les pompiers, par la suite, essayèrent probablement d’éteindre les flammes, mais cela ne servit en réalité à rien, puisque le Malevolence les emporta lorsque le vaisseau s’écrasa sur une planète au terme du sauvetage de Padmé par Anakin Skywalker et ses acolytes.
Plus tard, Naboo fut menacée par la création d'un virus, le Blue Shadow. Plusieurs Républicains, dont Padmé, furent contaminés, et il fallait agir vite pour espérer qu'ils guérissent. Aussi Obi-Wan Kenobi et son apprenti, Anakin, se rendirent sur Iego, car c'était là que des racines de reeksa, des antidotes, pouvaient être trouvées. Pour s'en emparer, ils se firent aider par un jeune garçon nommé Jaybo Hood.
Cet enfant, quoique jeune, était piqué de mécanique. Il avait pour habitude de ramasser tous les débris après les batailles spatiales, de façon à constituer une armée entièrement à son service. C'est ainsi qu'il utilisa notamment les restes de droïdes-pompiers et changea leur programmation ; tous les B1 devinrent parfaitement dociles et obéissaient à Jaybo sans réfléchir. Lorsque Skywalker fit face à cet essaim d'automates, il crut avoir affaire à des ennemis ; il en détruisit de nombreux avec son sabre laser, avant de comprendre que ces robots n'étaient plus dangereux.

droidkas tireur :

Le droïde destroyer tireur était une variante du modèle principal, célèbre pièce d’artillerie de la Fédération du commerce. Il était en tous points identique au droïdeka ordinaire, à ceci près qu'il n'était pas muni des deux paires de canons blaster situés au bout de bras rétractables. Sa puissance de feu était tout aussi redoutable, et, comme son cousin mécanique, il roulait sur les champs de bataille pour vaincre ses ennemis, repliant pour cela son arme principale.
Cependant, comme son nom l’indique, le destroyer tireur avait une particularité intéressante : à l’extrémité du bulbe en bronzium, un fusil rétractable à longue portée avait été ajouté ; il ressemblait à un long bâton argenté, doté d’un canon assez large libérant de puissantes décharges. Ce droïdeka avait été précisément conçu pour rester sur les toits, les immeubles, les crêtes, attendant le moment opportun, éloigné de l'ennemi.
Ces automates disposaient de la technologie la plus sophistiquée à l'époque de l'avènement de l'Empire. La précision de leurs tirs était redoutable et la force de pénétration des salves était telle, que des véhicules rapides, comme la swoop CK-6, pouvaient être endommagés par le droïde. Toutefois, la cadence de feu était plus réduite que celle des destroyers ordinaires.
Sur ordre du commandant Xerius Ugg, les droïdes de combat furent relâchés, ainsi que quelques droïdekas tireurs. Mais la République s’apprêtait à l’emporter ; elle occupa le quartier nord de la capitale de Kiros. Obi-Wan Kenobi, quant à lui, avait défié le commandant Ugg. Enfin Anakin Skywalker et Ahsoka Tano allaient désamorcer les quelques détonateurs thermiques installés dans la ville.
Skywalker et sa padawan parcoururent la capitale de Kiros à la recherche des bombes. Alors qu’Ahsoka tentait de désarmer l’une d’entre elles sans la faire exploser, Anakin déviait tant bien que mal les décharges d’un terrible destroyer tireur qui apparut sur le toit d’un immeuble, tendant une véritable embuscade aux Jedi. Le jeune homme fut vite dépassé ; il joignit donc le Capitaine Rex pour qu’il l’aidât.
Plus loin, le soldat clone allait obéir. Avec son lance-roquettes, il visa le droïdeka sophistiqué qui ne bougeait pas et dont le bouclier n'avait pas été déclenché. Il n’eut plus qu’à tirer sur son bulbe de bronzium pour le détruire. Le robot s’écroula ; Anakin était sauvé tandis qu’Ahsoka avait désamorcé la bombe. Plus tard, la République gagnait la bataille de Kiros.

droideka :

Plus connu sous le nom de droïde destroyer, le droïdeka est une redoutable arme entre les mains des Neimoidiens. Pour pallier les lacunes des droïdes de combat standards, un appel d'offre fut lancé pour la création d'une arme autrement redoutable. Sur une planète éloignée du cœur de la République, une espèce chitineuse nommée les Colicoïdes créa un droïde de combat à sa propre image. Les Colicoïdes sont réputés pour leur insensibilité, et le système de Colla IV a connu maints ennuis, suite à la disparition d'hôtes de passage dévorés. Le droïde destroyer a comblé les attentes des officiers de la Fédération du Commerce : c'est une formidable machine à tuer.
Le droïdeka est en effet redoutable grâce notamment à ses deux paires de canons blasters. Situés sur deux bras rétractables, ils font feu chacun à leur tour, séparés de quelques dixième de secondes. Des câbles d'alimentation parcourent les bras et se rejoignent dans la "colonne vertébrale" du droïde. L'énergie de ces terribles blasters provient du réacteur qu'emporte le droïdeka. Il est protégé par un bulbe ultradur en brozium et sa position, sous le droïde, est une cible difficile à atteindre. Son déploiement est aussi un atout pour ce tueur. Grâce à des microrépulseurs internes, le droïde destroyer se déplace sous la forme d'une roue, ce qui en fait une cible rapide et fuyante. Il ne reprend sa silhouette de combattant qu'au tout dernier instant. Et c'est en combinant vitesse et répulseurs que le droïdeka passe en quelques secondes de sa forme circulaire à la position debout, prêt à l'attaque. Sa métamorphose, qui évoque le schéma d'attaque du Colicoïde adulte, prend l'adversaire en défaut, ce pour quoi il a été conçu. Il est rare qu'on ait le temps de lui riposter.
Le premier mouvement qu'il exécute pour se déplier est de repousser sa jambe métallique arrière. Il s'appuie ensuite sur les deux jambes antérieures qui ne sont pas encore dépliées. Il abaisse ensuite le bulbe en brozium tout en dépliant complètement sa jambe arrière. Ses deux jambes avant se déplient enfin et relèvent le droïde. Enfin, il déploie ses canons blasters et génère son bouclier déflecteur s'il en possède un. En effet, tous les droïdekas ne possèdent pas de projecteurs de champ de force, qu'un Humain ne pourrait pas porter sur lui du fait des radiations qui s'en dégagent. C'est également dans cette position qu'il était stocké dans les Porte-droidekas.
Enfin, sa posture de combat est également difficilement égalable. Lorsque le droïdeka est sur le point d'attaquer, il se dresse sur ses trois jambes métalliques. Ses bras pneumatiques se déplient et sa tête effrayante apparaît, dardée de ses senseurs de traque rougeoyants. Ces senseurs sont capables de détecter des émissions de radiations non visibles. Dédié au combat et spécialisé dans la destruction, il ne possède pas, comme le droïde de combat, une conception légère, car chacun de ses éléments est en alliage lourd ou blindé. C'est pour cela que les droïdes destroyer






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