C-Wing

Classe: T-120 C-Wing
Designation: -
Constructeur: Incom Corporation / Slayn & Korpil
Coût: -
Longueur: 17 mètres
Largeur: -
Hauteur: -
Hommes d'équipage: 1 pilote, 1 canonnier
Troupes / passagers: -
Vitesse subliminique: 130-250 MGLT
Vitesse atmosphérique: 1300 km/h en atmosphère
Hyperpropulsion: X 1
Hyperpropulsion de secours: -
Accélération: 21 MGLT/s
Maniabilité: 125 DPF
Armement: 4 canons blaster, 1 lance torpille à proton, (2 canons lasers lourds et 2 canons à ions supplémentaires sur un projet, moyennant une chute des performances.)
Blindage: 125 RU
Boucliers: 150 SBD
Autonomie: 5 journées standard
Capacité d'emport: 60 Kg


Le T-120 C-wing est un appareil conçu comme un vaisseau d’assaut lourd par les sociétés Slayn & Korpil et Incom Corporation, peu avant la nationalisation de cette dernière, dont la caractéristique la plus incroyable est sa vitesse : le T-120 a en effet la possibilité de passer d’une vitesse « de croisière » de 130 MGLT à 250 MGLT grâce à des moteurs à fusion suralimentés.

En revanche, en raison de la suralimentation des moteurs, le C-wing n’est armé que de quatre canons blasters, moins puissants que des canons lasers, et d’un lance torpille à proton, ce qui reste néanmoins honorable. Notons que des projets avaient été menés pour étudier la possibilité de l’équiper en supplément de deux canons laser et de deux canons à ion, avec en contrepartie une chute des performances à 130 MGLT, sans possibilité d’atteindre des vitesses supérieures.

Lors de la nationalisation d’Incom, les ingénieurs « rebelles » emportèrent les plans du X-wing avec eux, mais laissèrent les diagrammes du C-Wing aux mains des loyalistes impériaux l’Empire. La fabrication en série du C-wing s’avérant trop chère par rapport à ses possibilités d’utilisation réelles, le Seigneur Vador lui-même détruisit le prototype du C-Wing ainsi que tous les plans, afin qu’il ne tombe ni entre les mains des rebelles ni entre celles de renégats impériaux comme Zaarin. Par conséquent, la carrière opérationnelle du C-Wing fut nulle, et ni l’Empire ni la Rébellion puis la Nouvelle République n’eurent le loisir de l’utiliser.


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