Classe: Croiseu MC-80b
Designation: Vaisseau de Combat
Constructeur:-
Coût:-
Longueur:-
Largeur:-
Hauteur:-
Hommes d'équipage: 5156 hommes, 246 artilleurs
Troupes / passagers: 1200 soldats
Vitesse subliminique:-
Vitesse atmosphérique: non adapté aux vols atmosphériques
Hyperpropulsion: Classe 1
Hyperpropulsion de secours: Classe 6
Accélération: 4 MGLT/s
Maniabilité: 10 DPF
Armement: 48 batteries turbolaser Taim & Bak XV9, 12 canons à ion ArMek SW-7, 6 rayons tracteurs
Blindage: 2128 RU
Boucliers: 3840 SBD
Autonomie: 2 années standards
Capacité d'emport: 12 A-wing, 12 B-Wing, 24 X-Wing (4 escadrons de chasseurs au total), 15000 tonnes métriques
Croiseur Mon Calamari utilisé par la Nouvelle République, le MC-80b est la transition entre les anciens vaisseaux capitaux de l’Alliance Rebelle et les « nouvelles classes » conçues par et pour le nouveau gouvernement.Après la défaite de l’Empire à la Bataille d’Endor et la proclamation de la Nouvelle République, celle-ci dût changer radicalement sa façon de lutter face à l’Empire. Le nouveau gouvernement devait affronter les impériaux à forces égales et non plus par de simples raids réalisés par de simples chasseurs et diverses classes de corvettes et frégates. Six mois après Endor, les chantiers de Mon Calamari débutèrent la création du futur MC-90, vaisseau qui pourrait tenir tête aux destroyer de classe Imperial en combat singulier.
Malheureusement, les MC-90 ne seront prêts que 4 ans plus tard. En attendant, les chantiers de Mon Calamari ont livrés à la Nouvelle République une autre classe de vaisseau, le MC-80b. Virtuellement, le MC-80b est identique à son ainé, le MC-80a, de part son armement, mais les batteries offensives sont dèsormais plaçées à des endroits stratégiques.
Le plus célèbre des MC-80b fut le Mon Remonda qui fut pendant un temps le vaisseau-amiral de la flotte de la Nouvelle République et le vaisseau personnel du général Solo dans sa traque du Seigneur de Guerre Zsinj. Le Mon Remonda démontra plusieurs fois la fiabilité de cette classe de vaisseau en sortant intact de plusieurs accrochages avec le Point d’Acier, le Super destroyer stellaire de Zsinj.
Leur efficacité et leur polyvalence donnèrent l’envie aux commandement républicain de conserver cette classe en activité, même après l’achévement du projet MC-90 et malgrès le fait que les systèmes de commande et de pilotage ne soient prévus que pour être maniés par des Mon Calamari.